• Helloooo les enfaaants *voix grinçante*

    Comment allez-vous en cette rentrée des clâââsses ?

    Dans quelle classe entrez-vous cette année, au fait ? 

    Je suis en terminale, à présent, et tout se déroule parfaitement bien, ça me rend heureuse !

    Bon, la suite de la traduction sera bientôt en ligne, histoire d'éviter une émeute virtuelle !

    A bientôt, avec le lien de la page FACEBOOK  consacrée au site !

    Rentrée, Facebook, Traduction.

    Aicko-Chan


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  • « Je ne peux plus rien manger, épargnez mooii » Me plaignais-je en frottant mon ventre gonflé.

     

    Les bâtonnets de crabe ont continué à défiler devant mes yeux, les uns après les autres, rampant vers ma bouche.

     

    Je n'avais pas d'autre choix que de les manger, parce qu’ils continuaient de ramper devant moi.

    Peu de temps après, mon ventre, n’en pouvant plus, explosa dans un gros boom !

     

    « AAAAAAAAAAAAAAAAAH !! »

     

    J'ai été réveillé par mon propre cri.

     

    « Do-Dorémi !?? »

     

    J'étais dans un avion en direction de l'aéroport de Shin-Chitose, et Émilie et Sophie, qui étaient assises de chaque côté de moi, me couvraient ma bouche.

     

    « Je .. peux .. peux plus respireeeeer »

     

    « Tu as bientôt fini de faire tous ces bruits étranges ? » me demanda Emilie avec une voix douce,

    et j’acquiesça avec ferveur.

     

    Etant satisfaites, elles ont finalement retiré leurs mains de ma bouche.

     

    Les passagers autour de nous nous lançaient des regards étranges.

     

    « Nous nous excusons pour la gêne occasionnée » s'excusa Sophie, en baisant la tête

     

    « Dorémi, excuse-toi voyons ! » Rajouta-elle

     

    « Dé-désolée.. » Dis-je en abaissant aussi ma tête.

     

    Alors que je m'excusais, des rires se sont fait entendre provenant d'un peu partout, et l’humeur s’allégea.

     

    « Sérieusement Dorémi, quel genre de rêve as-tu fait ? » demanda Emilie d’une voix douce.

     

    « Les bâtonnets…les bâtonnets de crabes, ils étaient... »

     

    J'allais entamer mon explication, mais en réalisant que j'allais me ridiculiser devant tout le monde, je me suis tu.

     

    Même moi, j'étais encore étonnée de mon esprit tordu, qui était capable de me faire rêver de crabe uniquement par ce que nous nous dirigions vers Hokkaido.

     

    Ah oui, pourquoi nous nous dirigions vers l'aéroport de Shin-Chitose ? Je vais devoir  remonter à hier pour expliquer tout ça.

     

     

     

     

    Le célèbre Magazine des Femmes, dont un journaliste nous avait interviewé en face de chez Loulou il y a peu, lui avait consacré une page complète.

     

    Ils avaient analysé point par point la chute de popularité de Loulou, qui était due selon eux à sa participation au film « Zagaidon », un remake du grand film « Gazamadon », qui fut un échec cuisant dans l'industrie du cinéma.

     

    Après ça, Loulou avait vu elle-même sa côte chuter, et nous en avait parlé. Certains journaux avaient traiter le sujet de façon acceptable, mais d’autres avaient écrit des articles inexcusables .

     

    Cet article-là était pleins de rumeurs idiotes et infondées, mais aussi rempli de calomnies, qui parlaient de sa famille, de sa carrière ratée, et aussi du fait qu'elle posait pour des photos sexy pour gagner de l'argent.

     

    Bien sûr, nous n'avons rien cru de tout cela, mais n'en pouvant plus tenir, nous en avions parlé avec Maggi Grigri. Elle nous encouragea à redevenir des apprenties sorcières.

     

    Bien entendu, cet entrain n'était qu'un moyen pour elle de faire revenir Loulou, et d'augmenter les ventes de la boutique ainsi. Nous avons donc rejeté son offre.

     

    En échange, nous avions demandé à recevoir notre salaire plus tôt, avions acheté des tickets d'avion, et préparé notre vol pour Hokkaido.

     

     

     

    Notre avion quitta l'aéroport d'Haneda à 8 heures tapantes, et se posa à l'aéroport de Shin-Chitose à 9:35. De là, nous avons pris la ligne express JR Hokkaido, et nous avons été secouées pendant environ trente minutes avant d’atterrir à Sapporo. Il était alors 11 heures.

     

    Depuis que je m'étais réveillée à 5 heures, j'avais à peine mangé, alors mon ventre commençait sérieusement à gargouiller.

     

    « Il est encore tôt, mais allons déjeuner ! 

    —Quoi !? Tu n'as pas déjà mangé une boîte entière de bonbons dans l'avion ? S’exclama Sophie.

    —J'ai un estomac à part pour les sucreries. Ooh, on pourrait manger des Miso ramen? Ou les fameux Genghis Khan nabe ?

    —Dorémi : Nous sommes venues ici pour aider Loulou, par pour faire du tourisme ou pour manger ! rétorqua Emilie.

    —Emilie a raison ! Filons au bureau du père de Loulou d'abord. Ce n’est pas l'heure de manger des ramen ! 

    — M-mais ... Il n'y a pas une citation qui dit « On ne peut pas partir à la guerre le ventre vide »… ? »

     

    Soudainement, elles m’attrapèrent chacune un bras et me trainèrent de force.

     

    « Attendeeez, c'est bon, j'ai compris ! Lâchez-moi ! »

     

    Alors que j’implorai leur pitié :

     

    « Ah »

     

    Elles me lâchèrent d'un coup et je me ramassai lamentablement.

    « Dorémi, te rappelles-tu de cette démarche ? Là, devant nous ! » Demanda Sophie alors qu'elle pointait du doigt un homme aux longs cheveux bouclés, qui faisait danser sa canne.

     

    Les hanches de cet homme balançaient vigoureusement quand il marchait, encore plus que la célèbre démarche de Marilyn Monroe.

     

    « Cette allure, il n'y a pas d'erreur ! » s'exclama fortement Emilie.

     

    Je me remémorais cette démarche, mais le nom m'échappait encore.

     

    « Alexandre, c'est Alexandre !!  s’écria Emilie.

    —Alexandre ? Alexandre …. Oh !! »

     

    Je me souviens maintenant.

     

    « Alexandre Jaune d'Œuf ! » hurlions nous à l'unisson.

     

    Et l'homme en question se retourna pour nous faire face d'un pas élégant, tel une danseuse.

     

    Il n'y a pas d'erreur, il s'agissait bien du sorcier Alexandre.

     

    Alexandre Jaune d'Œuf fut un temps notre ennemi, voulant kidnapper Flora, mais au final, c'est un homme bien qui adore les enfants. 

     

    De plus, c'est un fan inconsidéré de Loulou depuis toujours, et il est très fier de son statut de « 7ème  fan officiel » dans son fan club.

     

    « Oh, mais c’est Dorémi, Emilie et Sophie, n'est-ce pas ? 

    —Ça fait tellement longtemps ! »

     

    Nous courûmes vers lui  

     

     « Alexandre, pourquoi es-tu à Sapporo ?

    —Rien de spécial. Je me suis juste inquiété quand je suis tombé sur ça »

     

    Il nous montra l'article d’un magazine pour femme qu'il trainait dans sa poche.

     

    « Serais-tu à la recherche de Loulou, tout comme nous ?

    —Yes ! (NT : En français dans le texte original)

    —Donc tu sais que Loulou est à Sapporo ? 

    —Je vous ai entendu en parler quand je suis passé près de la boutique, il y a peu.

    —Oh je vois ! Maintenant que tu es avec nous, nous allons pouvoir utiliser la magie pour la retrouver ! Ça nous sera d'une grande aide ! » Disais-je dans un sourire, mais l'expression d'Alexandre changea.

    « J'ai déjà essayé de nombreuses fois de la localiser avec la magie, mais je n'ai jamais eu de réponse… 

    —La magie ne devrait-elle pas pouvoir faire ça facilement ? Lançais-je tristement.

    —Ça marcherait si elle était dans Sapporo, mais pas si elle est à l'extérieur de la ville... » Répondit-il en s'excusant.

     

    « Donc ça ne servait à rien de venir ? » demanda Sophie, déconfite,  les épaules tombantes.

    « Mais si on trouve le père de Loulou, nous pourrions lui demander où se trouve sa fille ! Suggéra Emilie.

    —Great ! » (NT : En français dans le texte original)

     

     

    Alexandre parut ravi de la proposition d'Emilie, et même Sophie retrouva espoir.

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    YEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES.

    Vous l'aurait compris, avec la rentrée tout ça, je n'ai même pas pu poster la traduction tant attendue ! Il doit y avoir un nombre incalculable de fautes (que ma soeur se fera un plaisir de me renvoyer à la figure).

    Nous abordons dans ce chapitre le voyage des filles à Hokkaido, un bon gros chapitre bien chiant à traduire avec tout pleins de noms japonais 8D 

    A bientôt, je compte sur votre fidélité ! 

    Aicko-Chan

     

    P.S : Vous avez saisi, "NT", pour "Note de la traductrice". Hihi.

     

     

    TRADUCTION: Aicko-chan
    Correction du 27/02/16 par Bobosse


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  • Les bureaux de la compagnie ferroviaire pour laquelle travaillait le père de Loulou se situaient dans un immense building près de la station de Sapporo.

    Nous entrions à quatre en même temps par l'entrée principale, pour nous diriger vers le réceptionniste.

    Cependant, deux agents de la sécurité se sont inquiétés en voyant l'allure d'Alexandre, et se sont approchés pour lui parler.

    « HEY ! Je ne suis pas un psychopathe ! Je dirige une école maternelle ! » 

    «Ah vraiment ? Et quelle école est-ce censé être ? Nous devons vérifier tout ça. Fournissez-nous le numéro de téléphone de votre employeur Monsieur ».

    A la question de l'agent, Alexandre répondit honnêtement :

    « C'est une école de bébés sorciers, alors même si vous appelez.. »

    « Bébés sorciers ? Vous êtes cinglé ! Accompagnez-nous au poste je vous prie ! »

    L'agent s'approcha pour menotter Alexandre, et nous nous retrouvions à improviser.

    « A-attendez ! »

    L'agent commença à nous menacer.

    « Vous ne me laissez pas le choix »

    Alexandre attrapa sa canne, et balles en métal de pachinko apparurent dans un écran de fumée.

    Il avait utilisé sa magie.

     Les gardes marchèrent sur les balles et tombèrent en grognant.

     

     

    Peu après, alors que nous avions échappé aux gardes et aux agents, nous nous retrouvions dans un café tout proche des bureaux, pour préparer un plan et revenir à l'attaque.

    Nos visages étaient associés à celui d'Alexandre, donc même si nous retournions tout sourire demander à la réception pour voir le père de Loulou, nous ne réussirions probablement pas.

    « Est-ce que quelqu'un a une idée ? »

    « Hum…et encore.. » Marmonnais-je d’un ton déjà défaitiste.

    « Hey, regardez ça ! » cria d'un coup Sophie en pointant du doigt les bureaux.

    En relevant la tête, nous aperçûmes les agents de sécurité de tout à l'heure, accompagnés d’autres employés, saluant un vieil homme apparemment important, qui retournait à sa limousine.

    « Oh oh ! Je peux me servir de ça ! »

    En disant cela, Alexandre agita sa canne, fit un pas de danseuse, et se transforma en l’homme qui venait de rentrer dans la limousine.

    Avec toute notre chance habituelle, la personne en laquelle s'était changée Alexandre n'était autre que le vice-président de la société.

    En tant que vice-président, Alexandre entra sans problème dans le bâtiment, et pu apprendre que le père de Loulou conduirait le train de nuit partant de Sapporo le soir même. Après avoir appris ça, il revint.

    Comme nous avions du temps à tuer avant d'embarquer pour le fameux train du soir, Alexandre nous invita pour déguster un plat chaud de Genghis Khah, que nous mangions avec délectation.

     

     

     

    Nous avions décidé de parler au père de Loulou sur le quai gare de Sapporo où le train de nuit attendait, avant qu’il ne rentre dans la cabine du conducteur.

    Environ 20 minutes avant qu'il ne démarre, le père de Loulou apparut.

    « Le père de Loulou ! »

    Alexandre nous surveillait de loin, n'osant pas se montrer, de peur d'être prit encore une fois pour un psychopathe.

    « Oh vous êtes … Dorémi, Emilie et Sophie ! 

    —On ne s'est pas vu depuis longtemps »

    Après que les politesses aient été échangées, nous lui expliquions que nous avions traversé le Japon pour savoir si Loulou se portait bien. 

    « Je suis désolé que vous ayez dû venir jusqu'ici les filles.

    —Comment se porte Loulou ? »

    Son père se déconfit un peu, avant de répondre :

    « Ah... Elle prétend aller bien devant moi, mais tellement de choses lui sont arrivées 

    —Tellement de choses … ? » reprit Emilie.

    Mais le père de Loulou ne répondit pas, et changea de sujet.

    « Loulou était très inquiète de ne pas avoir pu vous parler de son déménagement ici, à Hokkaido, ni de vous avoir transmis son nouveau numéro de téléphone.

    —Ouais, on ne pouvait vraiment pas la joindre... » répondit Sophie.

    « Les médias se sont montrés très insistant. Je pense que Loulou ne souhaite pas vous ayez des problèmes à cause de ça, et attend que tout cela se soit tassé. Laissez-lui du temps, s'il vous plaît... »

    En disant cela, il s'inclina. A ce moment-là, l'assistant conducteur du train de nuit, qui était dans le compartiment de conduite, annonça que le train était sur le point de partir.

    Le père de Loulou acquiesça et se dirigea vers la cabine. Mais il s’arrêta soudainement.

     « Loulou vit maintenant avec sa mère à Wakkanai, alors s'il vous plaît, ne vous faites pas de soucis. Au revoir »

    Puis il rentra dans le compartiment.

    « Merci ! »

    Nous le saluâmes avec respect, puis courûmes vers Alexandre.

    « Alexandre ! Nous savons où la trouver ! Cria Sophie

    —Il a dit qu'elle était à Wakkanai ! 

    —Wakkanai ? Pas étonnant qu’on est pas trouvé avec la magie. »

    Sophie enchaîna :

    « Alexandre, emmène-nous là-bas avec ta magie ! »

    Mais il répondit :

    « Je suis désolée les filles, mais le délai est passé, je dois retourner dans le Monde des Magiciens »

    Alexandre parlait de son école materne dans le monde des sorciers. Il y a peu, l'agriculture là-bas avait connu un essor tel que de nombreux enfants magiciens étaient nés, et qu’ils étaient un peu en rupture de nounous. Ça expliquait pourquoi il ne pouvait prendre qu'une demi-journée de congé.

    « Nous aussi. On va rater notre vol si on ne se dépêche pas! » Dit Emilie avec regrets.

    Nous nous sommes séparés d'Alexandre à la sortie de Sapporo, emplies d'un sentiment d'amertume à l'idée d'échouer si près du but, et nous sommes retournés à Shin-Chitose pour prendre notre avion.

     

    Arrivées à l'aéroport, nous recevions un nouveau choc.

    Alors que nous nous livrions aux procédures d'embarquement habituelles, nous avons aperçu le fameux journaliste qui avait écrit l'article dans le magazine pour femmes, passer la porte d'arrivée.

    « Pou-pourquoi il est là lui ? 

    —Ça risque de mal se passait s'il nous voit…Cachons-nous ! »

    En suivant les instructions toujours sages d'Emilie, nous nous retrouvions cachées.

    « Qu'est-ce qu'il fait là ? » murmurais-je tout en fixant le dos du reporter.

    « Il a dû avoir échos de la présence de Loulou  supposa Emilie.

    —Et ce n'est qu'une question de temps avant qu'il ne la trouve... » frémit Sophie.

     

     

    Nous frémîmes toutes à cette idée.

     

     

    TRADUCTION: AICKO-CHAN
    correction du 27/03/16 par Bobosse 


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  • Hello!~

    Hello!

    Ici Bobosse, qui vient vous faire un petit coucou ♥

    Bon je suis navrée, désolée, mais j'ai de moins en moins de temps à consacrer au blog. Eh oui. Je suis en terminale, les petits gars! Entre les nuits passer à bosser les maths  et les journées passées au lycée de 7:30 à 19h, j'ai pu le temps de rien, moi! (aujourd'hui, je suis malade donc je profite me repose! J'avais tellement de fièvre que j'ai délirer toute la nuit sur le nombre d'or et la suite de Fibonacci! #LesMathsMePoursuivrontJusqu'enEnfer)

    Bref, je tiens juste à remercier encore une fois la fantastique, merveilleuse et unique Aicko-chan qui prend soin du blog en mon absence et qui s'occupe de la traduction, bien qu'elle soit en terminale elle aussi! On t'aime Aicko ♥ Comme un bodybuilder sous testostérone ♥ Comme un Chameau sous morphine ♥ Comme...non on va s'arrêter là avec les comparaisons bizarres ♥

    Et surtout, n'oubliez pas de manger des patates!

    Hello!

    XOXO

    -Bobosse


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  • Helloooooooooo

    Did you enjoy your week-end? 

    Sans transition aucune, on m'a demandé il y a peu pourquoi mon pseudo prenait un "C". 

    OUI, il existe des gens qui s’intéressent VRAIMENT à ce genre de choses.

    Pour rappel, le prénom d'origine de Sophie est Aiko.

    A-I-K-O, donc.

    Comme vous le savez, il est de coutume au Japon d'accoler -Chan ou -San à la fin du prénom d'une personne que l'on considère au rang de frère ou de soeur.

    Ca me plaisait bien, alors à mes débuts sur cette grande surface qu'est le NËËËËT, mon pseudo était Aiko-Chan.

    Sauf que FIGUREZ-VOUS que sur Eklablog à l'époque, une nana a débarqué et m'avait piqué mon pseudo. Pour me connecter correctement j'ai pris la décision de changer l'orthographe de ce dit-pseudo pour éviter de me retrouver à en chercher un nouveau. Et depuis je m'y suis faite, alors je ne le change pas.

    Même s'il y a une MEGA FAUTE dans le prénom BIATCH.

    Un mystère résolu *Check*

    Sinon ! La page Facebook du blog ... existe mais, comment vous dire ça sans passer pour une prune, je suis incapable de foutre un pitit lien de rien du tout sur le blog pour y accéder ! Donc j'attend l'aide de ma petite Bobosse d'amûûr <3

     

    Une dernière info, j'ai eu une sacrée bonne idée (modestie= 0) pour agrémenter ce blog, en vue de devenir LE MEILLEUR BLOG DU MONDE!

    Je la mettrai en application d'ici peu, je pense que ça va vous plaire !

    Bisous Ojamajeurs ! (Et mangez des patates. Bobosse à raison).

    Aicko-Chan (et fière de l'être)

     

     


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