• Chapitre 5 partie 2

    Chapitre 5

    partie 2

     

     

    Après cette journée, Loulou devint super-active et commença à discuter joyeusement avec tout le monde, comme si un poids avait été retiré de ses épaules.

    Tôt le matin, elle invita une Bibi encore endormie à se joindre à elle pour des exercices sportifs matinaux, près de l’école élémentaire. Ensuite, elle alla avec mamie et maman dans les champs pour récolter quelques légumes de saison. Après cela, elle accompagna Sophie à son entraînement d’athlétisme, et elles transpirèrent bien toutes les deux.

    Enfin, c’est ce que m’a raconté Emilie.

    Ouaip, moi j’ai dormi jusqu’à midi.

    C’est parce-que nous étions toutes si excitées durant la soirée pyjama d’hier soir que je n’ai pas réussis à m’endormir. Ha haha.

    Je suis descendue me rafraîchir avec l’eau du robinet de la cour, rattaché directement au puit. J’aperçus Loulou qui se dirigeait vers le bureau de mon grand-père, à quelques mètres.

    « Bonjour, Loulou. 

    —C’est un peu tard pour les salutations matinales. Tu es une vraie marmotte.

    —Oups. Enfin peu importe, quoi de neuf ?

    —Je pensais aller demander à grand père de me laisser regarder son travail. M’expliqua Loulou.

    —Oh, je viens aussi, alors. »

     

    L’odeur du vernis nous parvint sitôt entrées dans la pièce.

    En plus d’être agriculteur, grand-père est un maître laquier « Shunkei » plutôt connu dans la région. Le style « Shunkei » diffère de la façon dont on laque habituellement les objets, de par l’envie de faire ressortir la beauté du bois utilisé comme matériel, et il utilise donc plus des tons rouges et jaunes.  Il peut être appliqué sur des plateaux, les boîte-bento et sur les coupelles de tasse à café.

    « Est-ce que ça dérange si nous vous regardons travailler ? » Demanda Loulou. Grand-père, qui était en train de fini de laquer un masque traditionnel Nô utilisé pendant les cérémonies, s’arrêta et acquiesça silencieusement.

    Les yeux de Loulou brillèrent d’émerveillement en contemplant le travail précautionneux de grand-père, mais personnellement, je commençai vite à m’ennuyer, et lâcha un bâillement.

    « Dorémi, j’ai soif. Peux-tu me ramener un peu de thé ? » Demanda grand-père en me tendant une théière vide.

    « Ok ! »

    Alors que j’allais attraper la théière, Loulou me devança et dit « Je vais y aller à ta place ».

    « Ça va aller. Loulou, tu voulais discuter avec papi, n’est-ce pas ? A plus tard. »

    Une fois que j’eus quitté la pièce, Loulou se leva et alla s’asseoir à côté de grand-père.

    « Vous voulez un massage des épaules ? 

    —Je ne veux pas t’embêter, mais si tu veux bien, je t’en remercie »

    Alors que les mains de Loulou s’affairaient à masser, elle demanda :

     « Grand-père, je peux vous demander quelque chose ? 

    —Oui, quoi donc ?

    —Depuis combien de temps êtes-vous laquier ?

    —Hum…Je l’étais avant de rencontré mamie, donc ça doit faire environ 60 ans.

    —Wow ! C’est incroyable.

    —Pas tellement

    —Mais vous continuez de créer de si belle pièce. Je vous admire vraiment. Vous devez avoir beaucoup de talent pour ça. » Dit Loulou en regardant les plateaux et boîtes bento posés sur l’étagère par grand-père.

    « Du talent ? Ce n’est pas vrai. J’ai juste regardé et recopié ce que faisait mon père.

    —Mais ne faire que ça ne permet pas de créer de si belles pièces. Ce sont comme des objets d’arts. 

    —Ho ho ho, tu peux continuer à vanter mon travail, mais je ne peux  rien t’offrir d’autre que du thé en échange.

    Loulou rigola, et j’arrivais à cet instant.

    Après avoir servi du thé pour tous les trois, nous le bûmes ensemble.

    « Si je suis effectivement doué de quelque chose, c’est de la force de continuer à faire ce que j’aime. » Dit grand-père les yeux mi-clos.

    « Continuer…à faire ce que j’aime ? »

    L’expression de Loulou s’illumina un instant, et il m’était facile de deviner pourquoi.

     

     

    « Je vais continuer ma carrière, pour moi-même. »

    Loulou nous annonça sa décision une nuit où nous jouions avec des petits feux d’artifices dans la cour.

    Cette soudaine déclaration choqua un peu Emilie et Sophie au premier abord.

    Comme je m’en doutais déjà, je lui souris et répondis :

     « Oh ! Je suis contente que tes hésitations prennent fin. 

    —Merci.

    —Je le savais. Loulou ne peut pas se contenter d’être qu’une fille normale. Etre une actrice te convient vraiment mieux. » Dit Emilie en s’approchant pour donner un nouveau bâton de feu d’artifice à Loulou.

    « Vraiment ?

    —Loulou est vraiment belle ce soir. Comme si ton aura de superstar rayonnait. » Ajouta Sophie en allumant son propre bâton avec celui de Loulou.

    « Merci. » Répondit Loulou, en faisant tournoyer des étincelles.

    Ne restant pas en reste, je fis tournoyer mon propre bâton et demanda : « Hey, tu as dit que tu allais continuer à être actrice « pour toi-même ». Qu’est-ce que tu veux dire par là ? 

    —Au moment où je suis entrée dans l’industrie du show-business et que j’ai commencé à travailler dur pour être une enfant star, j’ai tout fait pour réaliser les rêves de ma mère. En échange, ma mère m’aidait à gérer toutes les choses en dehors du travail.

    —Mais tu n’étais qu’une enfant à l’époque, c’était sa responsabilité.

    —J’étais vraiment gâtée à l’époque. Mais maintenant, je me reposerais sur moi-même, et peu importe à quelle lenteur avancent mes progrès, je continuerais à marcher  sur le chemin de la vie d’actrice, avec joie. »

    Tout en disant  cela, elle se tourna vers Papa et Papi qui buvaient de la bière sous la véranda, et acquiesça dans leur direction. Papi et Papa sourirent et levèrent leurs verres.

    A cet instant, maman nous apporta du thé glacé. Nous attrapâmes chacune une tasse et les levèrent en l’air.

    « Portons un toast au futur de Loulou !

    —Santé ! »

    Nous bûmes toutes nos verres d’une seule traite.

     

     

    Loulou, fidèle à elle-même, fit rapidement bouger les choses.

     Après notre retour de Hida, où nous avions passé nos vacances, Loulou apparu à la fermeture du MAHO-do.

    « Salut ! » Elle fit signe de sa main droite et entra avec désinvolture dans le magasin.

    « Lo-loulou ?!

    —Qu-qu’est-ce que tu fais là ? »

    Emilie et moi la regardâmes, bouche bée, comme si nous avions aperçu un fantôme.

    Sophie ne travaillait pas aujourd’hui, elle devait concourir pour une compétition inter-lycée.

    « Qu’est-ce qu’il y a ? Je ne suis pas un fantôme. Regardez, j’ai des jambes. »

    Sans réfléchir, Emilie et moi regardâmes les jambes de Loulou.

    « Hihihi, donc tu es la vraie Loulou ! » Dit Emilie avec un petit rire.

    « Mais pourquoi ? Tu n’as pas parlé de revenir ici quand on était à Hida.

    —Héhé. En fait, je viens juste de signer un contrat dans  une  nouvelle boite de production, donc je suis venue vous l’annoncer.

    —Hein !? »

    Je tombais de ma chaise, choquée, et les lunettes d’Emilie descendirent sur son nez.

    Comme satisfaite de nos réactions, Loulou rigola en se tenant les côtes.

    « Loulou, c’est pas gentil…

    —Désolée. C’était une réaction encore meilleure que celle à laquelle je m’attendais. »

    Loulou m’aida à me relever, puis s’assit à la table et commença à expliquer comment elle avait signé avec une nouvelle agence.

    Les jours suivant sa décision de redevenir actrice, Loulou retourna à Hokkaido annoncer à ses parents qu’elle souhaitait refaire ses débuts à Tokyo. Ses parents, sentant bien que cette décision était mûrement réfléchie, acceptèrent sa requête. Depuis, elle a contacté chaque agence quelle connaissait de par ses relations dans le show-business. Cependant, avec son image d’enfant star uniquement capable de jouer des rôles d’enfants qui lui collait à la peau et sa côte de popularité au plus bas, aucune compagnie ne voulait d’elle. Mais Loulou n’a pas abandonné.

    Par le passé, Loulou avait rencontré une actrice du même âge, Karen Morino, à une audition, et elles avaient gardé contact. Après concertation, Karen lui a présenté la compagnie avec laquelle elle avait signé. Loulou a immédiatement écrit une lettre à l’agence, se présentant et exprimant son envie de redevenir actrice, et elle reçut rapidement une réponse demandant un entretien en tête à tête.  Et aujourd’hui, elle avait voyagé jusqu’à Tokyo pour passer l’entretien dans les bureaux de la compagnie.

    Cette habilité à prendre les choses en main est une des plus grandes qualités de Loulou.

    « Leur bureaux étaient plutôt petits, mais ils se concentrent sur la carrière de leur artistes au lieu de juste faire du profit, donc j’ai décidé de signer chez eux. 

    —C’est super !

    —Félicitations, Loulou.

    —Merci. »

                    A cet instant, Maggie Grigri et Lala vinrent se joindre à nous.

    « Oh, mais c’est Loulou !  S’exclama Maggie Grigri.

    —Maggie Grigri, Lala, ça fait si longtemps !

    Elles se firent un câlin, ravies de ces retrouvailles.

    « Maggie Grigri, Loulou vient de signer avec une nouvelle agence.

    —Oh, c’est vrai ? Tu vas rester ici ?

    —Nope. J’ai prévu de vivre à l’internat de l’agence.

    —Oh, en parlant de ça, il y avait des rumeurs comme quoi vous alliez vendre la maison de famille ? »

    —Ca a été inventé par les médias. Une fois maman guérie, on reviendra habiter ici. 

    —Je le savais !

    —Tous ces changements ne vont pas être difficiles, Loulou ?

    —C’est vrai ça. Que penses-tu de devenir apprentie aussi, Loulou ? » Suggéra Lala

    Nous lui avions aussi conseillé ça, mais Loulou avait refusé obstinément.

     « Je m’en sortirai très bien comme ça.

    —Mais…

    —Si je pouvais utiliser la magie, je suis sûre que je l’utiliserais pour mon propre profit, comme par le passé. Et puis j’essaierais aussi de guérir Maman. » Répondit Loulou avec un sourire avant de nous tirer la langue avec malice, même si ses yeux étaient très sérieux.

    Aborder ce sujet laissa un blanc.

    Sentant cela, Emilie changea de conversation :

    « Et le lycée ?

    —C’est bon.  Je me suis faite transférée dans un lycée avec des cours pour célébrités.

    —C’est bien notre Loulou ! Tu penses vraiment à tout.

    —Les cours de danse et de chant commencent demain, donc il fallait mieux régler tous ces détails à l’avance.

    —Loulou Segawa est finalement en passe de devenir une grande actrice. On te soutien à fond !

    —Bon courage !

    —Merci. Assez parlé de moi. Dorémi, je viens de croiser François sur le chemin pour venir ici. Dit Loulou

    —V-Vraiment…

    —François est devenu vraiment cool ! Je comprends que tu lui aies laissé une lettre d’amour. »

    Pendant nos vacances à Hida, j’avais raconté à Loulou toute l’histoire avec François.

    « On a pas beaucoup parlé, et quand j’ai abordé le sujet de Dorémi, François est partit en courant comme s’il s’enfuyait.

    —Loulou, ne reparlons pas de ça ! » Implorais-je, tentant de changer de sujet.

    « A en juger par son comportement, je pense qu’il s’inquiète toujours du fait qu’il ne t’ait pas donné de réponse.

    —Alors Loulou le pense aussi. Je crois bien que c’est ça. » Emilie se joignit avec passion à la conversation. « Une confession amoureuse par écrit demande beaucoup de soin et de réflexion, donc il doit encore réfléchir à certaines choses. 

    —Je comprends. Je me suis sentie pareille quand je suis partie à Hokkaido. Je savais que tout le monde allait s’inquiéter pour moi, mais il y aurait eu beaucoup de problème si j’en avais parlé…au final, ça a été vraiment dur de n’en parler à personne. »

    Je fus heureuse de voir tout le monde s’impliquer autant pour moi. Mais ? Est-ce que ça voudrait dire…

    « Qu’est-ce qu’il y a Dorémi ? 

    —Euh… »

    Je ne savais pas comment expliquer ça clairement, mais si François m’aimait vraiment, est-ce que ça voudrait dire qu’on pourrait se mettre ensemble ? François a toujours pris soin de moi. Même s’il n’arrêtait pas de se plaindre à ce propos,  il était toujours en quelque sorte en train de me protéger. J’ai l’impression qu’il n’aurait pas fait tout ça pour quelqu’un d’autre que moi.

    « Est-ce que ça ne veut pas dire qu’il t’aime ? »

    Loulou pourrait avoir raison. C’est comme si on avait toujours été en couple.

    « Dorémi, pourquoi tu n’irais pas lui demander en personne, au lieu d’écrire ou d’appeler ? Vous êtes tous les deux dans le même lycée, c’est bête que votre relation reste tendue comme ça. » Dit Emilie.

    Cependant, j’avais l’impression qu’il avait fait exprès de m’éviter ces jours-ci.

    « C’est vrai. Je pense que ça clarifierait vraiment les choses.  Ajouta Loulou.

    —Loulou peut vraiment être directe… »

    Mais être directe est ce qui nous a donné nos boulots au MAHO-do, et nous a permis de résoudre plein de problème grâce à la magie, et nous a fait rencontrer de nouveau amis, pour n’en citer qu’une partie.

    Le lycée est un endroit où beaucoup d’élèves viennent de loin et se regroupent, et je me suis fait des amis qui m’ont appris un tas de choses dont j’ignorais tout.

    Si j’avais un petit copain, est-ce que je l’aimerai plus que mes amis ?

    Je sais que je n’en ai pas pour le moment, mais je ne peux pas m’empêcher de m’en inquiéter.

    Après avoir exprimé mes préoccupations, Emilie sourit et me rassura : « Ça ira Dorémi. Je suis très attachée à Frédéric, mais je vous adore toutes, ainsi que mes amis de l’académie Karen et ma famille aussi. »

    Lala fit un clin d’œil et continua : « Il y a tellement de choses que vous autres adolescents veulent faire. C’est vraiment dur de tout laisser tomber pour se concentrer sur l’amour. »

    A cet instant, mon téléphone sonna, prévenant d’un nouveau message.

    « Ah, c’est Sophie ! »

    Emilie regarda l’horloge du magasin et ajouta : « La compétition vient probablement juste de se finir ! »

    D’après un message qu’elle avait envoyé ce matin, Sophie était allée jusqu’en finale, avec un temps qui la classait dans les 5 premiers. Je lui téléphonai immédiatement.

    « Salut Sophie, c’était comment ? »

    Sophie resta silencieuse.

    « Qu’est-ce qu’il y a Sophie ? »

    Tout le monde se rassembla avec inquiétude autour de moi.

    « Salut Sophie ! »

    J’entendis un faible sanglot.

    « Sophie…pleure. »

     

     

    TRADUCTION: BOBOSSE

     

     


  • Commentaires

    1
    Clara_cscllo
    Jeudi 21 Avril 2016 à 23:35

    Que j'ai hâte de lire enfin la suite ! Ils abordent enfin le sujet de François et Doremi, je veux vraiment savoir si ils se mettront enfin ensemble ou pas ! *-* 

    2
    Vendredi 22 Avril 2016 à 00:10

    "...masque traditionnel Noh utilisé pendant les cérémonies,..." il y aurait pas une faute ici par hasard ;p ?

    Cette partie est jouissive, on a Loulou, et enfin, enfin ça commence à nous lancer dans un futur KotaDore. (#rpzJeMeSuisSpoilDoncJeSaisCommentVontFinirLeursRelations :'( )

    Et puis on a un cliffhanger génial, Sophie qui pleure, Bobosse tu est sadique de nous teaser comme ça :')

    Bref l'histoire commence vraiment, c'est la meilleur partie pour l'instant ^^ merci pour cette traduction

      • Vendredi 22 Avril 2016 à 10:10

        Sur le "Noh"? J'ai repris comme c'était écrit dans la version anglaise. Mais bon c'est "Nô" du coup en français? (ou alors tu me signales une autre faute et je suis complètement à côté de la plaque? x'))

      • Vendredi 22 Avril 2016 à 14:28

        Non non, tu as bien compris, je pensais qu'on disais exclusivement : Nô, mais c'est moi qui me suis trompé visiblement xD ça m'apprendra à faire le malin 

      • Vendredi 22 Avril 2016 à 14:40

        Apparemment c'est Noh en angais et Nô en français du coup j'ai modifié ;)

      • Samedi 23 Avril 2016 à 12:04

        Ces masques sont flippants :3 (c'est tout ce que j'avais à dire)

      • Dimanche 24 Avril 2016 à 11:17

        C'est pas les pires, j'ai un pote qui a ces masques là  accrochés dans ses toilettes. Ouioui. T'oses plus trop y aller après x)

      • Dimanche 24 Avril 2016 à 11:27

        C'est pas très malin xD, moi je l'aurai accroché sur la porte d'entrer et j'aurai remplacé le paillasson : " Bienvenue " par : Cette habitation est propriété du démon, direct plus personne t'emmerde :D

    3
    Vendredi 22 Avril 2016 à 20:15

    OMG très bon chapitre comme toujours ! j'ai hâte de lire la suite !! ça fait plaisir de revoir Loulou dans le groupe ! On commence petit à petit à retrouver le bon groupe !! :D

    D'ailleurs j'ai vu que vous recherchiez une correction volontaire, si il suffit juste de corriger y'a pas de soucis je veux bien aider !! :) N'hésitez pas !

      • Vendredi 22 Avril 2016 à 21:13

        Merci de te proposer!
        Les corrections à effectuer concernent en fait les chapitres précédents (partie 3 à 7 du chapitre 3, et le chapitre 4). Il faudrait corriger l'orthographe/conjugaison et parfois un peu la syntaxe. Si tu veux toujours effectuer ce travail, je t'enverrais les documents et si tu as word, ce serait sympa que tu fasses les corrections en mode "révision" (là où quand on change un truc sur le doc ça l'affiche en rouge, je sais pas si ça existe sous Open Office) comme ça je pourrais vérifier le tout plus rapidement!

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    4
    Samedi 23 Avril 2016 à 08:47

    Oh bah je veux bien :3 Je sais pas si sa marche sur open office... Mais au pire quand je change un truc je le mettrais en rouge :') 

      • Samedi 23 Avril 2016 à 09:56

        ok merci! :) envoie-moi un mp avec ton adresse mail que je puisse t'envoyer tout ça ;)

        EDIT: après re-lecture y a des petites erreurs de traduction à corriger, donc je vais revoir le tout avant de te le passer pour la correction orthographique ;) 

    5
    Dimanche 24 Avril 2016 à 08:56

    Ok !! ( désolé du retard, j'étais pas chez moi hier ^^' )

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