• Ohayo minna san ! Comment allez vous ?

     

    HERE IS THE SECOND JAPANSESE LESSOOOOOOOOONNNNNN !

     

    On y va, are you ready ? 

     

    HERE WE GO LET’S ONE, LET IT FRIGHTENED !

     

     

    PARTIE 1 : KANA DE BASE (A,I,U,E,O) :

     

    Voici les premiers kana à apprendre, qui forment les sons de base du japonais, comme ça, vous pourrez déjà vous la jouer professionnel en recopiant ces symboles en boucle ^^

     

    A : あ

    I : い

    U : う

    E : え

    O : お

     

    Note : il est possible que le « u » ne s’affiche pas sur votre écran ! Dans ce cas, je vous invite à aller sur ce lien pour avoir le kana

     

    http://www.i2symbol.com/images/cool-letters/hiragana/hiragana_letter_u_u3046_icon_256x256.png

     

    A chacun sa méthode pour apprendre, mais je vous conseille de les réécrire, en boucle, jusqu'à ce que vous les voyiez même en fermant les yeux^^

     

    PARTIE 2 : VOCABULAIRE :

     

    Dans cette deuxième partie de vocabulaire, voyons ensemble les verbes de base japonais !

     

    LES VERBES (1) :

     

    ETRE : DESU

    AVOIR : ALIMASU

    FAIRE : SHIMASU

    ALLER : KIMASU

    ACHETER : KAIMASU

    MANGER : TABEMASU

    VOIR : MIMASU

    LIRE : YOMIMASU

    ECOUTER : KIKIMASU

    Voilà pour cette partie !

     

    PARTIE 3 :GRAMMAIRE :

     

    DE LA NÉGATION AU PASSE :

     

    Vous le savez depuis le cours numéro 1, le verbe de base, au présent et affirmatif, se termine toujours en « -masu », sauf pour le verbe être, qui se termine en « -su ».

     

    Mais qu’en est t-il de la négation ?

     

    Rien de plus simple !

     

    La négation, en japonais, se forme par la terminaison en « -masen », ou « -wa alimasen » pour le verbe être, a la place de la terminaison habituelle en « -masu » ! 

     

    Exemple :

     

    - desu : dewa alimasen

    - shimasu : shimasen

    - tabemasu : tabemasen

     

    Watashi wa Onpu-Chan desu. / Watashi wa Onpu-Chan dewa alimasen.

                 Je suis Onpu-Chan.        / Je ne suis pas Onpu-Chan.

     

    Et le passé ?

     

    Il suffit de remplacer le « -masu » par « -mashita », et « -shita » pour le verbe « être » !

     

    Exemple :

     

    Watashi wa takoyaki wo tabemasu.

     

    Je mange des takoyakis.

     

    Watashi wa takoyaki wo tabemashita.

     

    J’ai mangé des takoyakis.

     

    Mais, dites vous, qu’est ce que ce « wo » ??

     

    Don’t worry ! Nous verrons cela dans la leçon suivante !

     

    PARTIE 4 : EXERCICE :

     

    Traduisez les phrases suivantes :

     

    - Je suis (votre prénom).

    - je ne suis pas Aicko-Chan.

    Traduisez les mots suivants :

     

    - Boire ?

    - Manger ?

    - Lire ?

     

    - Bonjour ?

    - Merci ?

    - Bonne nuit ?

     

    Voilà pour cette fois ! La prochaine fois, nous verrons la phrase au passé négatif, les particules « no » et « wo », et je vous apprendrais des mots de vocabulaire pratiques et très utilisés !

     

    La récompense :

     

    Suite à un problème sur mon PC, l’affichage ne fonctionnant pas, je vous offrirai une SUPER récompense pour la prochaine fois ! Mais genre vraiment super ! Soyez au rendez vous !!

     

    Sur ce, Mata ne ! N’hésitez pas a lâcher un com’ !^^

     

     

    (Excusez Onpu-Chan, son esprit a été pollué par les skyblogs, ce qui explique cette dernière phrase un peu kikou, mais au fond il est sympa - et normal - Aicko-Chan)


    8 commentaires
  • Nous avions tout de suite foncé jusqu'au toit du centre commercial pour nous transformer en apprenties, où nous entamions ensuite notre Cercle Magique.

     

    Émilie ne pouvant pas nous venir en aide, Lala nous amena Maggi Grigri pour nous aider.

     

    En effet, si Émilie était intervenue dans ce Cercle Magique, la promesse que nous avions faite à la Reine de ne jamais utiliser nos pouvoirs à des fins personnelles serait brisée.

     

    Émilie nous regardant, nous étions toutes motivées à faire de notre mieux :

     

    « Protégeons Émilie des rumeurs sur ce site internet ! »

     

    Ça aurait été mieux si nous avions pu faire en sorte que les articles disparaissent ! Affirma Maggi Grigri.

     

    Nous étions toutes d'accord là dessus.

     

    Sophie et moi revenions ensuite à notre forme normale, et nous disions au revoir pour la journée.

     

    Arrivée à la maison, j'avais tout de suite allumé l'ordinateur, mais il n'y avait aucun nouvel article.

     

    Un mail d’Émilie arriva, disant qu'elle avait vérifié son ordinateur aussitôt arrivée chez elle également. Son nom disparaissait peu à peu du site tandis que de nouveaux posts arrivaient.

     

    C'est chouette, Émilie pourrait dormir tranquillement cette nuit !

     

    Le lendemain matin, nous avions prévu de trouver le coupable, mais c'était quelque chose qu’Émilie refusait d'accepter.

     

    Depuis le matin, Mukai semblait malade, aussi Émilie l'avait accompagnée à l'infirmerie, et tandis qu'elle délirait avec la fièvre, elle se mit à parler :

     

    « Arrêtez ..tout le monde, Émilie est une mauvaise fille... »

     

    Sans savoir qu’Émilie se trouvait à ses côtés, Mukai répéta ces mots plusieurs fois.

     

    //

     

     

    « Je ne voulais pas lui poser de questions.. » 

     

    Émilie, qui faisait une pause après son cours de violon, soupirait tristement arrivée à la boutique.

     

    Sophie et moi nous occupions de la réconforter.

     

    Et puis je veux dire, son prénom est courant, tout le monde connaît une Émilie. 

    De toute façon, nous pensions toute que Mukai s'était trompée et ne parlait pas de notre Émilie. 

     

    Notre magie ne s'était pas contentée de supprimer les articles et les rumeurs, mais la peine qu'aurait dû ressentir Émilie accablait le véritable coupable.

     

    Cependant, nous ne pouvions pas affirmer que Mukai était bel et bien la coupable, aussi nous avions prévu d'aller la voir en personne le lendemain.

     

     

     

    Émilie avait demandé à Mukai de se rendre dans un parc près de chez elle, et nous nous asseyions toutes sur un banc. Émilie fit face à Mukai, Sophie et moi étant du côté opposé.

     

    « Que fais-tu là à notre meilleure amie ? Te reposant sur un compte anonyme et proférant ces mensonges ? Ne devrais-tu pas savoir ce qui est bien de ce qui est mal ? » Attaqua directement Sophie, dans son dialecte natale (N.T : « In her kansai dialect »)

     

    « … Je ne sais rien à propos de tout ça » continua t-elle à nier

     

    « Tu étais là il y a deux jours, en train de nous épier achetant des maillots de bain, n'est-ce pas ? » continua Sophie

     

    L'expression de Mukai changea subitement.

     

    « Je suis celle qui t'a couru après. Si tu veux nous prouver ton innocence, montre nous ton téléphone portable »

     

    Disant cela, Sophie agrippa le téléphone de Mukai, l'ouvrit et effectua quelques manipulations.

     

    « Comment comptes-tu prouver ton innocence avec ça ? »

     

    Sophie lui montra une photo d’Émilie et Frédérique. La plupart des autres photos comprenaient Émilie également.

     

    « ..Mais... » 

     

    Récupérant lentement son téléphone, Mukai fixa Émilie dans les yeux.

     

    « Fujiwara, tu exagères ! Pourquoi es-tu si retournée ? Ne penses-tu pas que ce soit juste que tu souffres un peu toi aussi ? » lança t-elle violemment en éteignant son téléphone.

     

    « Mais ces articles étaient si cruels ! Sais-tu au moins à quel point tu l'as fait souffrir ? » me mis-je aussitôt à crier 

     

    « Elle a raison ! Je ne te conseille pas de jouer les rebelles maintenant ! » lui fit Sophie 

     

    « Attendez... » 

     

    Émilie se leva soudainement et nous arrêta dans notre lancée.

     

    « Mukai, peux-tu me donner les raisons qui t'ont poussée à faire cela ? » posa calmement Émilie, de sa voix aimable habituelle, et l'on vit d'un coup des larmes monter dans les yeux de la coupable.

     

    « Je suis désolée .. J'avais conscience de faire quelques chose de mal mais .. je ne pouvais pas m'arrêter .. » 

     

    Et Mukai commença finalement à s'expliquer.

     

    Depuis qu'elle était enfant, Mukai avait toujours rêvé de devenir violoniste. Elle avait voulu entrer à l'Académie pour filles Karen, mais l'entreprise de son père avait fait faillite, aussi elle n'avait eu d'autre choix que d'entrer dans une école publique moyenne pour réaliser son rêve.

     

    Pour améliorer les finances de la famille, sa mère avait prit des petits boulots supplémentaires, et Mukai s'était retrouvée à devoir gérer la maison seule. Grâce au travail acharné de son père, l'entreprise se releva, et Mukai projetait d'entrer enfin à Karen. 

     

    Cependant, depuis le début de ces problèmes, Mukai avait déjà raté trois années de leçons. La différence de compétences qu'elle avait observé entre elle et les autres filles qui s'étaient entraînées durement pendant trois année, notamment avec Émilie, était évidente.

     

    Émilie avait approché Mukai pour la première fois de son naturel habituel, voulant devenir son amie, et tout le monde pouvait s’apercevoir que c'était une fille bien, excepté Mukai en qui s'éveillait peu à peu un fort sentiment de jalousie.

     

    « ...Seuls les élèves ayant les meilleurs résultats de toute l'Académie et recevant la reconnaissance de grands professeurs de prestigieuses universités peuvent utiliser ces violons, n'est-ce pas ?... »

     

    Émilie nous regarda pour nous expliquer :

     

    « Les Stradivarius .. J'ai entendu dire que les meilleurs élèves se voyaient attribuer l'un de ceux-là pendant leurs quatre années d'études à l'université » confirma Émilie

     

    « Strad.. Stradi ... » bégayais-je

     

    « Stradivarius » répéta calmement Émilie

     

    « Qu'est-ce que c'est au juste ? Un truc incroyable non ? » demande Sophie

     

    Émilie nous offrit son sourire le plus désabusé.

     

    « Il s'agit du plus célèbre de tous les violons au monde ! Le meilleur d'entre eux coûte plus d'un million de dollars ! » (N.T : somme convertie en dollars pour une meilleure compréhension. Je sais je sais, je vous en prie)

     

    Ehhhhh !

     

    Sophie et moi nous regardions d'un air perplexe. Nous savions toutes deux que ces violons étaient chers mais …

     

    « Si j'en avais un comme ça, je le vendrais en secret ! » s'exclama Sophie, et même Mukai sourit timidement

     

    Ainsi, irritée et fatiguée d'être laissée pour compte, Mukai pensa rapidement à harceler les filles de Karen.

     

    C'est à ce moment là qu'elle écrivit son premier article sur le site internet, dans l'idée de blesser le monde entier.

     

    Au départ, elle n'avait dans l'idée que de poster des articles désignant anonymement des personnes sans citer leurs noms, mais au fur et à mesure qu'elle se liait d'amitié avec Émilie, connaissant l'existence de son travail à la boutique, ses parents et Frédérique, et se mit à la cibler personnellement.

     

    C'est ainsi que les articles devinrent de plus en plus personnels, libérant sa jalousie.

     

    « Ton travail à la boutique à l'air si amusant, tu as de superbes amies et un petit ami formidable … Tout ce que je n'ai pas... »

     

    Les articles devinrent de plus en plus fréquents, et elle finit rapidement par perdre le contrôle.

     

    « Dis moi, est-ce que tu as aimé écrire ces choses ? » demanda de but en blanc Sophie, si bien que Mukai leva les yeux de surprise

     

    Émilie prit soudain la parole :

     

    « Le son du violon de Mukai est complètement différent depuis peu » Nous expliqua t-elle,

    « En entrant au lycée, ta musique était douce et lumineuse, mais ces derniers temps, elle est si sombre ! Tu l'as remarqué aussi, n'est-ce pas ? » dit-elle directement à Mukai

     

    Émilie elle-même avait déjà essayé de s'immerger totalement dans ses morceaux, mais ne penser à rien d'autre avait fini par la rendre malheureuse.

     

    « Mukai, je pense que tu te trompes » avais-je fini par exprimer tout haut, « je ne sais pas grand chose sur le violon, mais la musique n'est-elle pas supposée apporter de la joie aux gens ? Si tu ne la joues pas avec ton cœur, la musique n'atteindra jamais celui des autres »

     

    « Elle a raison, nous ne pouvons l'appeler 'musique' que si tu la joues avec le cœur » ajouta Sophie 

     

    « C'est vrai, Mukai, je ne suis pas ta rivale. Il y a tellement d'autres étudiants dans toutes les écoles du monde ! Tu as travaillé si dur pour arriver là où tu es aujourd'hui, si tu te laisses déstabiliser par ce genre de petites choses, tes parents seront sûrement tristes » ajouta Émilie, alors qu'elle prenait la main de Mukai « Vu ? »

     

    « Fujiwara ... » commença Mukai, en tenant la main d’Émilie dans les siennes fermement, « Je suis désolée.. Je suis sincèrement désolée... » 

     

    Les larmes coulèrent sur ses joues à l'instant même où ces mots sortirent de sa bouche.

     

    Nous décidions de ne pas aller plus loin.

     

    Nous venions de comprendre les motivations du coupable, et tant qu'aucun article ne voyait le jour, tout allait bien.

     

    Et le plus important de tout : Émilie lui avait pardonné.

     

    « Il commence à faire nuit » susurra Sophie, comme pour elle-même

     

    « Nous avons encore du travail demain » lui répondis-je

     

    « Je viendrai une fois que ma leçon sera terminée » dit Émilie

     

    Nous nous levions, comme si rien ne s'était passé.

     

    « Mukai, tu devrais te dépêcher de rentrer chez toi, tes parents vont être inquiets » ajouta Sophie

     

    « Eh... ? » Mukai parut surprise de la fin précipitée de la conversation

     

    « Tu penses peut-être que la vie d’Émilie n'est faite que de bonnes choses, mais tu te trompes ! » dis-je

     

    « Elle a des soucis avec son petit ami et sa famille. Nous laisserons Émilie t'en parler elle-même, tu seras surprise » ajouta Sophie

     

    Disant cela, nous quittions le parc, laissant là Émilie et Mukai.

     

    Si elles finissent pas devenir de bonnes amies, elles finiront pas se partager des tas d'anecdotes, même si Émilie continuerait probablement à traverser des moments difficiles.

     

    Sa famille est si protectrice qu'il lui arrive d'étouffer ! De son côté, Frédérique peut parfois donner l'impression de ne pas s'intéresser à elle, que ce soit par ce qu'ils ont longtemps été amis, ou par ce qu'il est timide.

     

    Enfin dans tous les cas, elle s'en sort mieux que moi, qui n'ai pas de petit ami du tout.

     

    Émilie et Frédérique, classique et jazz, violon et trompette. En dépit de leurs genres de styles différents, ils partagent le même amour de la musique, ce qui leur donne probablement beaucoup de sujets de conversation.

     

    Au delà de ça, ils rêvent tous deux de devenir musiciens professionnels, alors je suppose qu'être amoureux était quelque chose de très naturel pour eux, les aidant peut-être à atteindre leur rêve.

     

    Attendez, qui m'a demandé mon opinion déjà ?

     

     

     

     

    « Elles n'auraient pas du dire ça tout haut ! » dit soudainement Émilie, peut-être un peu choquée par notre départ soudain.

     

    « Ce sont de bonnes amies. En fait, tu m'as l'air très différente de ce que je pensais. Je t'envie vraiment beaucoup » dit Mukai

     

    « Tu es mon amie aussi Mukai. D'ailleurs, pourrais-je t'appeler par ton prénom, il est si beau ! Appelle moi Émilie et je t’appellerai Riko ! » dit Émilie dans un sourire

     

    « Merci Fuji... Émilie » dit Riko en essuyant ses dernières larmes

     

    Mukai était sur le point de connaître une part d’Émilie qu'elle ne montre jamais, que je ne connais pas, celle qu'elle expose à Karen, et ça me rendait un peu jalouse.

     

    Pourtant, ce serait vraiment chouette si nous pouvions devenir amies avec Mukai un jour !

     

    C'est la même chose pour Loulou : peut importe les kilomètres qui les séparent, des amis resteront des amis.

     

    C'est dans cet état d'esprit que nous rencontrons de nouvelles personnes, et que nous apprenons à les apprécier.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nous travaillions à la boutique le lendemain. En attendant Émilie, j'interrogeai Maggi Grigri et Lala sur les événement d'hier.

     

    Toutes deux étaient très inquiètes pour Émilie, aussi mon récit les avait un peu apaisées.

     

    Après avoir apprit pour les articles sur internet par Elena, Frédérique paniqua et fonça prendre des nouvelles d’Émilie

     

    Alors que les articles avaient déjà disparus du site internet, ils causèrent quelques malentendus entre eux. Émilie lui proposa de ne plus se voir pendant quelque temps, pour éviter que d'autres élèves aillent faire courir d'autres rumeurs.

     

    Son inquiétude paraissait un peu excessive, mais son entrée en scène avait été trop tardive.

     

    Les explications d’Émilie se voulaient rassurantes, mais en tant que petit ami, j'attendais au moins qu'il constate qu'elle n'était pas comme d'habitude.

     

    Ensuite, Frédérique m'a également dit à quel point Elena s'était inquiétée pour Émilie

     

    Il semblerait qu'elle ait un petit ami elle aussi, et que de ce fait, sa personnalité extravagante se soit un peu estompée. 

     

    Mais j'en parlerai plus en détails plus tard !

     

    Bien qu'elle continuait à nous parler de son ton supérieur habituel, Elena avait toujours été une chic fille, et sa personnalité changeait dans le bon sens. De plus, avec sa réputation à l'Académie Karen, elle finirait peut-être par devenir super populaire ?

     

    Cette réflexion m'irrita un peu.

     

    « Les vacances d'été arrivent bientôt ! Je vais tout faire pour rencontrer de nouvelles personnes ! » me disais-je à moi-même avec détermination

     

    « Tais toi Dorémi, et travaille ! »

     

    J'avais encore énervé Maggi Grigri.

     

    -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

    BIEN BIEN BIEN.

    Ça aura prit du temps, mais la partie 3 est présente yo posey t'vois quoi représente.

    J'ai beaucoup aimé cette partie, et d'ailleurs en la traduisant je n'arrêtais pas de me dire "les mecs qui gèrent ce Light Novel aiment les disputes".

    La prochaine partie porte sur miss Tamaki, et franchement, j'ai hâte de voir ce qu'il en est !

    Soyez au rendez-vous, je ferai ça d'ici peu, traduire m'a grave manqué.

    On vous aime !

    Aicko-Chan

     

     

     

     


    12 commentaires
  • Yo'

    C'est Bobosse,

    je viens vous signalez qu'un sondage est ouvert, à droite de votre écran (dans le menu), afin de choisir quelle sorcière sera à l'honneur pour le prochain thème! Vous avez jusqu'au 31 octobre pour voter, et le thème devrait être mis en place dans la semaine suivante!

    Thème + poisse

    Sinon, les amis, avez-vous déjà eu la poisse?

    Mais genre, la poisse-poisse. Genre comme moi hier.

    Je devais rejoindre des amis dans une ville du côté de Paris afin de passer un après-midi agréable. Habitant une petite ville et étant toujours en retard, je cours donc pour  avoir le dernier bus pouvant m’amener à l'heure à la gare pour les rejoindre. 
    SEULEMENT je porte un pantalon trop grand que j'ai donc resserré avec une épingle à nourrice en pensant que c'était une bonne idée. après 30 secondes de courses effrénées, OUILLE 5 cm de métal dans mon pauvre épiderme.
    Jusque là, rien de très grave me diriez vous. Certes. 

    J'arrive à la gare. Je cours pour arriver jusqu'au quai (parce-que oui, je suis encore en retard) et je me stoppe net aux panneaux d'affichage.

    Tous trains supprimés jusqu'à 13h. 

    Et il est 11h. Commence donc une longue attente de 2h, seule, en plein soleil, sur les quais. La joie. 

    Tant bien que mal, j'arrive à 14h dans THE ville avec magasins ciné mac do etc...Je pars au carrefour et me dis: "tiens, pourquoi ne pas s'acheter une bouteille de shampoing? Y en a plus à la maison!" donc je prends ma bouteille. Je passe à la borne libre service, je règle en carte, et je fourre tout dans le sac.

    1 h après, alors que je dois régler ma commande Mac Do, je me rends compte de quelque chose. Enfin plutôt 2 choses.

    Thème + poisse

    1) Je suis débile, j'ai laissé ma carte dans le lecteur à Carrefour il y a plus d'une heure

    2) le bouchon du shampoing était cassé. L'intégralité de mes affaires (cours, clefs, lunettes, vêtements,...) trempe joyeusement dans un liquide gluant sentant bon la verveine. Ah, puis la bouteille à 3€ est intégralement vidée. 

    Donc course effrénée jusqu'au carrefour pour récupérer la carte, ce qui ne m'aura coûté que 40 précieuse minutes de mon temps, des regards désespérés de la part du personnel (en même temps, je l'accorde, oublier sa carte dans le lecteur c'est quand même fort) et une très très TRÈS forte envie d'étouffer la dame qui m'est passé devant au service client pour se plaindre pendant 20 min que ses danettes coûtait 20 ct plus cher sur son ticket de caisse que sur le prix affiché. Puis au final tout ça pour qu'on me dise "nan c'est pas ici"

    Enfin bon voilà. La poisse quoi. Et vous, votre pire succession de mal chance?

     

     

    -BOBOSSE


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