• Hey mes petits Ojamajeurs adorés <3

    Comment allez-vous ?

    Moi? Ahaha. 

    ETRANGEMENT BIEN.

    Ma petite soeurette a découvert l'existence de ce blogounet, et ça lui a plutôt plu. Cool, les enfants, cool. 

    (Oui à noter, quand quelque chose ne lui plaît vraiment pas, ma soeur est plutôt du genre adepte de l'empalement testiculaire par piques de brochettes.)

    Donc cool, disais-je. 

    En même temps, je n'avais jamais essayé de cacher mon implication dans cette petite entreprise, puisqu'à mon humble avis, je ne faisais rien de bien méchant, au contraire 

    BREF.

    Vous aimez les films d'horreur ?

    OOOH COMME JE LES AIME D'UN AMOUR INFINI.

    J'en regarde souvent avec cette dite soeur, c'est toujours plus marrant de se pisser dessus en groupe !

    On est les championnes au niveau du sadisme. Un bras découpé ? Une vraie blague carambar. Une tête écrabouillée? Une blague de toto. Un gars brûlé vivant ? Un mauvais jeu de mot. Un groupe de personnes innocentes tranchées et écrasées sur une autoroute pas des zombies carnivores dégueulasses sans yeux ? ON VA COMMENCER A POUVOIR PARLER BUISENESS.

    Et puis genre, on mange des pâtes bolo devant Massacre à la Tronçonneuse. 

    Oui les amis, ON A LE SENS DE L'ECLATE CHEZ NOUS.

    Pour citer une célèbre série de films:

    "Quel est votre film d'horreur préféré?" 

    A plus tard Ojamajeurs. La trad avance doucement mais surement. 

    On vous aime <3

    (Trop d'amour en nous les enfants)

    Grillée.

    Ai-Chan


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  • Le matin suivant, j’ai baillé tout le long du chemin vers le lycée. Ça a pris beaucoup trop de temps de lire le roman de Nathalie que m’a donné Sophie, donc j’étais en manque de sommeil.

    Ce n’est pas comme si l’histoire était si intéressante que j’avais sacrifié volontiers mon sommeil pour la lire. C’était l’exact contraire, en fait.

    Comme l’a dit Sophie, ce n’était pas intéressent du tout. Ça n’a pas pris longtemps avant de me faire somnoler, et j’ai alterné les phases de cours sommeil et de lecture, jusqu’au matin.

    « Fwaaaahh~~ » Alors que je baillais et essuyai un peu mes yeux humides, Sophie accouru dans mon dos.

    « Dorémiiiii! 

    —B’jour, Sophie. » Dis-je, ponctuant mes salutations par un autre grand bâillement.

    « Ne me dis pas que t’es fatiguée à cause du roman de Nathalie ?

    —Et si. » Je sortis le cahier de Nathalie de mon sac et le rendis à Sophie.

    « Alors, qu’en penses-tu ? 

    —C’était super ennuyant. Il y a un fossé, non, deux fossés entre ce travail et celui qu’elle faisait en collaborant avec Marjolaine.

    —Je pense aussi. C’était même d’un niveau beaucoup plus bas que les histoires qu’elle nous avait fait lire avant qu’elle ne collabore avec Marjolaine, tu ne trouves pas ? 

    —Ouaip, c’est vrai. Dorémi le chien fidèle était dans cette histoire aussi, mais je pense qu’on peut dire que c’était…du réchauffé ? Il n’y avait rien de neuf du tout, et absolument aucun humour de qualité.

    —Ouais, c’est exactement ce que je pensais. Dorémi, que devrais-je dire à Nathalie ? 

    —Je pense que lui dire la vérité lui serait plus bénéfique, qu’en penses-tu ?

    —Oui, c’est vrai…Je ne me sens pas super bien de le faire, mais je le ferai. »

    Sophie soupira doucement et mis le cahier dans son sac.

    Le jour suivant était un samedi, il a plu dès l’aube. Je refermai mon parapluie et regardai le ciel nuageux tout en entrant dans le Maho-Do, secouant l’eau sur mon parapluie.

    « Bonjour, Dorémi. » Emilie était déjà arrivée et buvait le thé attablée avec Maggie Grigri et Lala.

    « Dorémi, viens ici et boit avec nous » Dit Maggie Grigri en remettant des feuilles de thé dans la théière.

    « Okay, merci » Je les rejoins après avoir mis mon parapluie dans le porte-parapluie.

    « Il fait trop froid dehors aujourd’hui. Tiens, bois ça et réchauffe-toi. »

    Je pris la tasse de « Thé Royal » que me tendait Maggie Grigri, et étais sur le point de boire une gorgée quand la sonnette de la porte d’entrée sonna bruyamment, me faisant renverser mon thé. « Agh, ow ! Chaudchaudchaud !!»

    Sophie, qui venait juste de la porte, semblât surprise d’entendre mes cris.

    « Sophie, ne fait pas tant de bruit si tôt le matin ! Regarde, j’ai renversé mon thé…

    —Ah, Désolée, Désolée. Je ne me sens pas très bien, alors j’imagine que j’ai projeté ma mauvaise humeur sur la porte. 

    —Est-ce qu’il s’est passé quelque chose ? 

    —Oui, en quelque sorte…

    —Tout d’abord, pourquoi ne prendrais-tu pas un peu de thé ? » Suggéra Lala, et Sophie acquiesça : « Je veux bien ».

    Elle vint à table et s’assit avec lourdeur sur une chaise.

    Maggie Grigri lui versa du « Thé Royal », et Sophie en bu une gorgée, mais son humeur ne sembla pas s’améliorer.

    C’est à ce moment-là que ça m’a frappé.

    « Peut-être t’es-tu disputée avec Nathalie ? »

    Sophie acquiesça sans un mot.

     

     

    Après l’école la journée précédente,  avant d’aller à son club, Sophie approcha Nathalie, qui était en train de nettoyer la salle de classe. Elle lui rendit le cahier et dit franchement à Nathalie qu’elle n’avait pas trouvé l’histoire intéressante.

    En guise de réponse, Nathalie dit quelque chose d’inattendue.

    « Je pense aussi. 

    —Qu’est-ce tu veux dire par là ? Demanda Sophie, surprise.

     –Même moi je ne la trouve pas intéressante, alors que je l’ai écrit. » Répondit Nathalie.

    Sophie fut un peu énervée par son ton nonchalant et dit : « dans ce cas, ça n’aurait pas été logique de la réécrire jusqu’à ce que ce soit intéressent, et ensuite la faire lire à d’autre personne ? »

    Nathalie ignora la question.

    « Je suis dans une mauvaise passe. Peut-être vais-je arrêter d’écrire des histoires. » Dit-elle mollement.

    Ça a fait réagir Sophie «  Qu’est-ce que tu racontes ?! N’abandonne pas si facilement ! »

    Nathalie perdit à son tour patience : « Tu ne peux pas comprendre les états d’âme d’un auteur, Sophie ! 

    —Ouais, c’est ça, Je ne peux pas ! Je n’aurais jamais cru que tu étais une telle bonne-a-rien, Nathalie ! »

     Après cet échange, elles se séparèrent toutes les deux.

     « Je pense que je me suis un peu emportée aussi, mais ça m’as mise tellement en colère… » Sophie tapa légèrement sa tête avec son poing.

    « Je sais ce que tu ressens, Sophie. Tu voulais que Nathalie continue d’écrire des histoires, n’est-ce pas ? Et tu as donc juste accidentellement dit des choses un peu rudes. »

    Sophie acquiesça.

    « Humm… » Emilie, qui nous écoutait silencieusement parler depuis le début, ouvrit finalement la bouche pour parler.

    « Qu’est-ce qu’il y a, Emilie ? 

    —Je pense que le manque d’inspiration de Nathalie a peut-être quelque chose à voir avec Marjolaine. »

    Emilie tenait quelque chose. 

    « C’est vrai, à la réunion du mois dernier, elles agissaient bizarrement quand elles étaient à côté. Dis-je

    —Hum, c’est ça alors ? Mais en CM2 et 6ème, elles ont fait des mangas vraiment drôles, quand même… Dit Sophie avec nostalgie.

    —Et au collège aussi. Elles ont collaboré sous le nom de plume « Misora Komachi » et ont soumis des manuscrits à des éditeurs de magazines.

    —Malgré ça, elles vont à des lycées différents, et à la fête après la réunion, elles ne se sont pas adressé un seul mot. Ajouta Emilie.

    —Je vois. Pourquoi n’aller vous pas essayer de parler à Marjolaine, les filles ? 

    —Je suis d’accord. »

    Maggie Grigri et Lala s’ajoutèrent à la conversation, mais dans l’instant qui suivit, la cloche de la porte d’entrée sonna doucement et une cliente entra.

    « Que-que-wow ! »

     C’était Marjolaine ! Quand on parle du loup !

    « Oh, Dorémi ! C’est donc dans ce magasin que vous travaillez les filles. »

    Quel merveilleux timing ! Nous étions toutes les trois sans voix.

    « Hey, les filles ! Vous avez une cliente ! Dépêchez-vous ! »

    La voix de Maggie Grigri nous ramena à la réalité.

     « Ah, Marjolaine ! Bienvenue ! » Nous dîmes, tout en courant la saluer.

    « Il y avait une affiche pour ce magasin sur la cabine téléphonique toute proche, j’ai donc pensé que c’était le même magasin qu’avant, et je suis venue voir.

    —Oh, je vois ! Nous parlions toutes les trois de toi, Marjolaine, donc tu nous as surprises !

    —Oh, Vraiment ? Alors, quelle sorte d’objets le MAHO-do vend-il cette fois ? 

    —Des objets magiques, comme des pendentifs qui réalisent les rêves, et des broches qui apportent le bonheur…elles sont très efficaces. » Expliqua Emilie tout en prenant les objets.

    Marjolaine demanda un peu brusquement :

    « Est-ce que vous avez des objets qui apportent la malchance à quelqu’un que vous détestez ?

    —…! »

    Nous étions toutes trois choquées et nous nous regardâmes avec perplexité.

    « Evidemment, nous ne vendons pas de choses pareilles !

    —Marjolaine, la personne que tu déteste…ça ne peut être…ce n’est pas Nathalie, n’est-ce pas ? 

    —... ! »

    Ce fut au tour de Marjolaine d’être surprise. Elle tenta de reprendre contenance et dit : « Ce- C’était une blague ! Je vais peut-être acheter un pendentif octroyeur  de rêve.

    —Ce pendentif, alors. Ça fera 2 euro 77 centimes » Je pris l’argent, et pendant que je lui rendais sa monnaie, Sophie emballa le pendentif et le tendit à Marjolaine.

    « Merci bien ! » Sophie lui fit un sourire un peu raide.

    Emilie lui demanda de but en blanc : « Hé, Marjolaine ? Pourquoi es-tu allée à l’académie Aogaoka au lieu du lycée de Misora ? 

    —Aogaoka a…une section spécialisée dans le manga. Elle a produit beaucoup de mangaka professionnels.

    —Oh, je vois. Pourquoi n’as-tu pas demandé à Nathalie d’y aller avec toi ? » Encore une fois, Emilie ne tourna pas autour du pot.

    « !..... »

    Marjolaine semblait à nouveau choquée, mais elle ne retrouva pas son calme cette fois et son visage montra les signes d’un profond déplaisir. « Emilie, j’ai déjà dissout mon partenariat avec Nathalie ! Je te prie de ne plus jamais prononcer son nom devant moi !

    —Marjolaine…?» Emilie n’avait d’autre choix que de garder le silence et de ne pas en demander plus.

    « Désolée, mais je dois y aller » Marjolaine, pris sa monnaie alors que je me tenais encore là, abasourdie, et se précipita vers la porte d’entrée, comme si elle essayait de s’échapper.

    « Marjolaine ! »

     Nous nous précipitâmes toutes les trois à la porte d’entrée paniquées, mais une averse violente nous stoppa dans notre élan. Tout ce que nous pûmes faire fut regarder la silhouette floue de Marjolaine disparaître au loin.

    Après être rentrées dans le magasin, nous discutâmes toutes les trois de la situation tout en malaxant un peu d’argile magique.

    « Je n’aurais jamais cru que leur relation était si tendue.

    —Tout ça car elles sont parties dans des lycées différents ?

    —Et maintenant, elles ne se parlent même plus. 

    —Mais elles s’entendaient si bien… 

    —Je me demande si on peut faire en sorte qu’elles collaborent à nouveau ? 

    —Avant de faire de ça, nous devons déterminer les raisons de leur dispute. Pourquoi ne pas les interroger séparément ?

    —Ouais. Dorémi, je viens juste de me disputer avec Nathalie, donc je te la laisse. 

    —Compris. 

    —Dans ce cas, Sophie et moi irons voir Marjolaine.

    —Si seulement on pouvait utiliser la magie, on résoudrait le problème en un tour de baguette ! 

    —Dorémi !  Emilie et Sophie me foudroyèrent du regard simultanément.

    —Haha, je rigole, je rigole…»

    J’essayais de faire oublier ma maladresse, quand Maggie Grigri et Lala intervinrent

    « Les filles, vous ne pouvez pas devenir des sorcières,  mais pourquoi pas des apprenties ?

    —Vous avez toutes rendues un grand service au royaume des Sorcières, donc si vous le demandiez à Sa Majesté, je pense que vous seriez autorisées à devenir apprenties-sorcières.

    —Si vous le voulez, nous lui demanderont pour vous… »

    Ce serait super…Ces mots étaient sur le point de franchir mes lèvres, mais je les ravalai.

    « Nous avons décidé de vivre nos vies en utilisant notre propre force, et pas la magie. Nous pouvons gérer quelque chose comme ça par nous-même. Nous sommes d’accord pour ne pas devenir apprenties sorcières. 

     

    Emilie et Sophie acquiescèrent vigoureusement à mes mots. 

     

     

     

     

    TRADUCTION: Bobosse

    correction du 26/02/16 par Bobosse


    13 commentaires
  • La suite de la traduction a enfin été publiée!

    Comment me diriez vous? Comment alors qu'hier je n'étais qu'à 50% de la traduction? 

    Eh bien, je me suis levée ce matin, il était 8 heures, j'ai fixé le plafond et j'ai crié (intérieurement) "OK AUJOURD'HUI JE FINI CETTE TRADUCTION!" Et voilà. J'ai allumé mon pc, j'ai fait 3 heures de traduction d'affilées sans pause (ce qui explique probablement les fautes et autres~ (que je corrigerai plus tard)) Et voilà les amis! Vous avez votre traduction!

     

    http://doremi-magical.eklablog.fr/chapitre-2-partie-7-a109035436

    -Bobosse

     

    Suite de la traduction!


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  • Nostalgie

    -Prologue-

     

    Après une longue journée au collège ou au lycée, vous rentrez chez vous. 

    Vous êtes un peu morose. Parce-que la vie, c'est dur quand même. C'est dur...

    Vous posez votre sac, vous êtes tellement fatigué(e) que vous vous affalez directement sur le canapé sans même prendre votre goûter! Vous glissez sur le canapé, tel(le) une loutre de mer sur une plage de gros galets. Vous atteignez la télécommande et vous allumez le téléviseur...retentit alors dans la pièce, une douce musique de votre enfance, qui traverse votre pauvre coeur mélancolique de part en part. 

    "Zouuuuu...zou!"

    "Bonsoir les zouzous!" s'affiche à l'écran.

    Une grande vague de nostalgie vous parcourt, alors que commence un dessin animé.

    "C'est nous les 5 apprenties sorcières~"

    Vous en pleureriez presque. 

    Quand soudain, vous vous sentez mal. Très mal. Tout devient flou, vos battements cardiaques s’accélèrent...

    "Quand votre coeur palpite toutes les nuits dans le noir~"

    Une douleur lancinante transperce votre crâne. 

    "Quand vous viennent en tête de drôles d'histoires~"

    Et Boum.

    Le silence.

    Plus rien.

    Le noir.

    Le vide.

    Vous êtes dans un endroit sombre. Très sombre. Vous ne distinguez même pas vos propres mains. Toute douleur a disparue. Vous regardez quand même dans l'obscurité ambiante, espérant distinguer quelque chose. 

    Vous voyez une lumière au loin...

    Une douce lumière...

    Vous percevez des rires aussi...des rires d'enfants...

    Vous tournez la tête et apercevez...votre mère?!

    Votre génitrice se tient dans un cadre rectangulaire, assise sur ce que vous reconnaissez comme étant le canapé sur lequel vous vous êtes affalez quelques minutes plus tôt. Elle semble vous regardez sans vous voir...

    Que faire? Vous avez trois choix...

    (A) Vous courrez vers votre mère...

    (B) Vous restez dans le noir à hésiter...

    (C) Vous allez vers les rires et la douce lumière...

    A vous de choisir!

    Grand Jeu

    ~*♫*~

    Les amis, les amis,

    je vous propose ce petit jeux qui suit un principe simple. Je vous propose une fiction, modulable selon vos choix...Vous êtes le personnage principal de cette fiction! la suite des aventures dépend uniquement de vous...A la fin de chaque chapitre, vous devez choisir une option entre plusieurs choix d'actions, et devez ensuite postez par commentaire votre choix. J'écrirai la suite de vos aventures en fonction des commentaires reçus. 

    Amusez-vous bien!

     

    -Bobosse


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  • Je sais ce que vous pensez tous.

    (Oui je suis un peu Devin à mes heures perdues et je peux lire dans vos TETES).

    Ils sont déjà à OD18 au pays du soleil levant et nous, ça traîne désespérément.

    Vous pleurez aussi?

    COMME JE VOUS COMPREND.

    Je vous met le lien ici : http://gepardi.tumblr.com/post/95086008255/ojamajo-doremi-18-doremi-the-moment-of

    Entre autre chose, la partie 7 du chapitre 2 a été brillamment traduite par Bobosse, je vous inivte à la lire. En plus de ça, ma formidable acolyte a commencé une nouvelle fanfic modulable, dans l'article juste en dessous. Je vous invite à laisser des commentaires rapidement. Elle ne débute pas, puisqu'elle a déjà écrit elle-même de nombreuses histoires sur toutes sortes de sujets, et sa plume est toujours aussi aiguisé qu'une arme. Bref, elle déchire (ça vient du coeur, ma vieille !)

    BREF.

    J'ai recommencé Ojamajo Doremi du début avec ma soeur, puisqu'on a toutes les saisons, en français. Et bordel je sais pas si c'est la vieillesse qui me fait dire ça mais la vache ya de sacrées bourdes. GENRE. Alexandre Jaune d'Oeuf qui kiffe Loulou. 

    Alexandre --> 40 piges

    Loulou --> 10 piges

    DO YOU SEE THE PROBLEM?

    Après dans la saison 2, je sais plus trop où, l'épisode s'ouvre sur Alexandre (toujours lui, fichu psychopathe) qui lance à Jérémy :

    "Hey, vous avez trouvé la petite fille? Il me faut cette petite fille !"

    OUAAAAAAAAATE.

    Je pourrais vraiment passer des heures à énumérer ces conneries. 

    Oh aussi, tradition dans la traduction française d'animes japonais, outre les quelques voix qui desservent une trentaine de persos (ni plus ni moins), les prénoms changent genre tous les deux épisodes. Avec des prénoms hyper clichés en plus.

    Vous vous souvenez de Frédérique? Le mec là, avec les cheveux verts (?!) , ami d'enfance d'Emilie.

    Alors déjà dans la saison une, il s’appelle Maxime, puis très vite il devient Fréderique.

    C'est pas trop long, classe, et ma foi pas trop cliché.

    ET LA subitement à la fin de la saison deux ils changent son nom.

    Pour l'appeler MARTIAL.

     

     

    DIEU QUE J'AI RI.

     

     

     

    Oh et fuck, il y a tant d'erreurs de montage, de cadrage, des pixels gros comme mon cu... POING, une histoire parfois un peu branque, d'ENORMES erreurs de traductions (genre Maggi Grigri qui devient d'un coup d'un seul MALICIA. Lol) mais au fond, on aime cet anime pour la fraicheur qu'il dégage, la simplicité de ces personnages, et de tant à autre leur profondeur mesurée, et l'émotion forte qui en émane, et ce peut importe notre âge. Ojamajo Doremi, et pour les plus anciens d'entres nous, Magical Dorémi, c'est aussi pas mal de fous rires, des expressions MON DIEU tellement caricaturales, et beaucoup de quiproquos. 

    Toute ma jeunesse, et beaucoup, beaucoup de mes plus beaux souvenirs.

    Moment d'émotion, les enfants.

    A bientôt !

    OJAMAJO DOREMI 18

    Ai-Chan


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